La politique générale du CAS-VP bien évidemment en osmose totale avec la Ville de Paris introduit depuis ces dernières années un nouveau schéma organisationnel :
► Les mutualisations et les regroupements de services avec pour conséquence l’instauration d’une polyvalence absolue pour les personnels.
► Corollaire de ces nouveaux modes de gestion : ■ les suppressions d’effectifs et les redéploiements.
Or, force est de constater que les recettes de la Ville de Paris sont en nette progression :
♦ Revalorisation de 2 % de la base des impôts locaux,
♦ Une progression des droits de stationnement
♦ Des droits de mutation immobiliers qui ont rapporté
1 milliard d’euros de recettes pour l’année 2011.
Rappelons encore cette information comme un leitmotiv :
La Ville de Paris est la ville la plus riche de France dotée d’un budget annuel de 8 milliards d’euros.
Concrètement cela veut dire que le CAS-VP ne peut plus invoquer une politique d’austérité budgétaire compte tenu des hausses de recettes continuelles de la Ville de Paris.
À cet égard FO demande :
- Une augmentation des effectifs,
- Un arrêt des mutualisations,
- Une revalorisation des primes,
- La généralisation de la NBI,
- Une hausse de l’allocation prévoyance santé (APS) qui stagne à 260€ net,
- Un ratio promu/promouvable à hauteur de 100%
- Une augmentation significative des œuvres sociales.......