Courrier adressé le 2/10/2009 au Directeur adjoint du CAS-VP
Monsieur le Directeur adjoint,
Vous n’êtes pas sans savoir que le 1er septembre 2009, un conseil national de l’Ordre des Infirmiers a été créé. À cet effet, deux conditions sont exigées :
- Une participation financière annuelle de 75€ en 2009 et de 125€ en 2010 pour pouvoir assurer ses fonctions.
- un document d’inscription au tableau tenu par l’Ordre National des Infirmiers a été adressé à certains d’entre eux assorti d’une date butoir au 30 septembre 2009 et ensuite repoussée d’un mois.
Depuis la création de cet Ordre National des Infirmiers, notre organisation syndicale saisie par nombre d’infirmières et d’infirmiers a adressé un courrier le 11 septembre à la Direction Générale pour demander tout simplement une audience.
Force est de constater qu’à ce jour, nous n’avons pas encore reçu de réponse. Une attitude et un comportement qui s’apparentent tout bonnement à du mépris à l’égard de son personnel.
Pourtant, ces agents mériteraient un peu plus de reconnaissance.
Ainsi, le CAS-VP et son personnel exposés conjointement à des sanctions de nature judiciaire sont dans l’obligation de part et d’autre d’entamer un dialogue social et de trouver au plus vite une issue favorable à un éventuel contentieux juridique.
C’est pourquoi, j’ai l’honneur de vous demander de bien vouloir me recevoir dans le cadre d’une délégation représentative des personnels afin de trouver ensemble les solutions idoines immédiates qu’exigent la création de l’Ordre Infirmier et son corollaire la participation financière.
En vous remerciant,
PJ : pétition signée par plus de 100 infirmières et infirmiers.
Monsieur le Directeur adjoint,
Vous n’êtes pas sans savoir que le 1er septembre 2009, un conseil national de l’Ordre des Infirmiers a été créé. À cet effet, deux conditions sont exigées :
- Une participation financière annuelle de 75€ en 2009 et de 125€ en 2010 pour pouvoir assurer ses fonctions.
- un document d’inscription au tableau tenu par l’Ordre National des Infirmiers a été adressé à certains d’entre eux assorti d’une date butoir au 30 septembre 2009 et ensuite repoussée d’un mois.
Depuis la création de cet Ordre National des Infirmiers, notre organisation syndicale saisie par nombre d’infirmières et d’infirmiers a adressé un courrier le 11 septembre à la Direction Générale pour demander tout simplement une audience.
Force est de constater qu’à ce jour, nous n’avons pas encore reçu de réponse. Une attitude et un comportement qui s’apparentent tout bonnement à du mépris à l’égard de son personnel.
Pourtant, ces agents mériteraient un peu plus de reconnaissance.
On a trop tendance à oublier que ces personnels contribuent, dans des conditions de travail très difficiles, par leur métier, leur savoir-faire et leur expérience, aidés en cela par leurs collègues aides soignants et agents sociaux au bien-être et au confort des résidents.
Pour ces raisons, vous ne pouvez maintenir votre position actuelle intransigeante et fermée à tout dialogue social dont je vous signale en retour qu’une charte du même nom devait soit disant améliorer les relations entre les partenaires sociaux et l’administration du CAS-VP.
Pour ces raisons, vous ne pouvez maintenir votre position actuelle intransigeante et fermée à tout dialogue social dont je vous signale en retour qu’une charte du même nom devait soit disant améliorer les relations entre les partenaires sociaux et l’administration du CAS-VP.
Non-signataire, vous nous faites nullement regretter notre choix !
Par ailleurs, je vous informe que lors de nos passages dans les EHPAD, il est à noter que la très grande majorité de la filière soignante refuse le diktat " professionnel et financier ".
Par ailleurs, je vous informe que lors de nos passages dans les EHPAD, il est à noter que la très grande majorité de la filière soignante refuse le diktat " professionnel et financier ".
Conséquence : un agent non affilié à l’Ordre Infirmier ne pourrait continuer à exercer son métier et s’exposerait à des poursuites judiciaires ainsi que son employeur, en l’occurrence le CAS-VP.
Ainsi, le CAS-VP et son personnel exposés conjointement à des sanctions de nature judiciaire sont dans l’obligation de part et d’autre d’entamer un dialogue social et de trouver au plus vite une issue favorable à un éventuel contentieux juridique.
C’est pourquoi, j’ai l’honneur de vous demander de bien vouloir me recevoir dans le cadre d’une délégation représentative des personnels afin de trouver ensemble les solutions idoines immédiates qu’exigent la création de l’Ordre Infirmier et son corollaire la participation financière.
En vous remerciant,
PJ : pétition signée par plus de 100 infirmières et infirmiers.