Depuis 2011, la Direction générale du
CAS-VP procède à la mutualisation des sections.
- 1ère vague : 1/4 2/3
5/6,
- 2ème vague : 9/10 8/17 15/16,
-
3ème vague : 5/13 6/14.
Allons-nous vers de nouvelles mutualisations ?
Seul
l’avenir nous le révèlera.
En
ce qui concerne les deux dernières mutualisations 6 /14 et 5 /13ème
sections, seuls les services supports sont concernés par la mutualisation des
effectifs.
D’une
part, un seul service des ressources humaines installé géographiquement dans le
13ème pour les deux sections
dès juillet 2017.
D’autre part, les services gestion et régie
seront aussi mutualisés ainsi que les secrétariats de direction de la 13/5ème
en septembre ou octobre 2017.
L’objectif des mutualisations, c’est tout simplement de réduire les effectifs.
Bien évidemment, dans un premier temps, on regroupe les agents sur un seul site
avec pour sanction une mobilité forcée et dans un second temps, dès les départs
en retraite, on ne remplace pas et le tour est joué !
L’AVENIR
AU CASVP,
C’EST
LA COMPOSITION DE TERRITOIRES
Aujourd’hui,
nous sommes face à des mutualisations de sections, en tout et pour tout 8.
Demain,
des territoires vont se formés. Un exemple pour illustrer nos allégations.
En 2020, les quatre premiers arrondissements de Paris
seront regroupés sous l’égide d’un seul maire, vraisemblablement, un seul
CAS-VP. Donc, le prélude à la création de territoires.
En clair, l’alliance de plusieurs sections dans un grand
ensemble appelé plus communément des open spaces. Au sein de ces derniers, des
agents (travailleurs sociaux et administratifs) polyvalents, interchangeables,
formés sur les mêmes logiciels informatiques au service des usagers via un
guichet unique social d’accueil.
Au
final, la maire de Paris est la seule initiatrice de ce projet de
mutualisations successives à grande échelle. Le corollaire, une politique de
réduction des effectifs doublée d’une politique austéritaire en matière de
primes.
Conséquence : lors des résultats de l’élection présidentielle sur la capitale, force
est de constater que le libéralisme et le conservatisme ont dominé dans tous les
arrondissements parisiens.
À trop vouloir
copier ses adversaires, la sanction ne s’est pas fait attendre. À
méditer !