PIAF est
un logiciel informatique obsolète. Autrement dit, il a fait son temps. Le
logiciel PIAF est installé depuis 1998 dans les sections.
Conséquence :
les connexions sont au ralenti. Les
coupures sont fréquentes voire quotidiennes. Aujourd’hui la panne
porte sur les signatures numérisées, les notifications qui s’accumulent, des
retards en perspective.
Demain, quel autre désagrément ? Les agents doivent continuellement faire
avec les moyens du bord.
Le SOI fait son travail et répare autant que
faire se peut avec les seuls outils mis à leur disposition. Remettre en l’état
un logiciel suranné est un travail fastidieux et demande énormément de patience
et cela depuis très longtemps.
PIAF n’est plus adapté à la situation
présente, le nombre d’aides sociales facultatives a décuplé depuis 20 ans et ce
logiciel n’est plus conforme à la réalité actuelle.
À
QUAND UN AUTRE LOGICIEL PLUS PERFORMANT ?
QUE FAIT LA DIRECTION
GÉNÉRALE SANS CESSE INTERPELLÉE SOIT PAR LES
AGENTS SOIT PAR LES SYNDCIATS SOIT PAR LES DIRECTEURS LOCAUX ?
LA
DÉCISION INCOMBE EN DERNIER RESSORT À LA MAIRE DE PARIS.
IL SUFFIT TOUT BONNEMENT DE L’INFORMER.
LA MAIRE DE PARIS
INFORME TRÈS SOUVENT LES PARISIEN.N.ES VIA LES PANNEAUX LUMINEUX, LA
MESSAGERIE, LE JOURNAL « MISSION CAPITALE » DES AIDES ET NOUVELLES
AIDES FACULTATIVES AUXQUELLES ILS OU ELLES PEUVENT PRÉTENDRE.
LES AGENTS DES SECTIONS
TRAVAILLENT DANS DE MAUVAISES CONDITIONS DE TRAVAIL OUTRE QU’ILS NE BÉNÉFICIENT
PAS DE PRIMES À LA HAUTEUR DES NOUVELLES FONCTIONS DEMANDÉES, ILS SONT
CONTINUELLEMENT STOPPER DANS LEUR TRAVAIL DU FAIT DE L’OBSOLESCENCE DE LEURS
OUTILS INFORMATIQUES.
UN
SEUL REMÈDE : UN NOUVEAU LOGICIEL. POINT BARRE.