Deux cents ? Trois cents ? Peu importe le nombre exact : les « sociaux » du CASVP / DASES étaient massivement rassemblés devant l’hôtel de ville, ce mardi 29 janvier, pour exiger légitimement une revalorisation des régimes indemnitaires, et une amélioration du déroulement de carrière.
Une mobilisation unitaire !
Ce mouvement rassemblait des collègues des deux corps (AS et CSE), des deux administrations (DASES – CASVP), et était soutenu par une inter syndicale.
Force Ouvrière, et pour répondre à la demande des collègues, était bien évidement partie prenante à cette action !
Les positions de Monsieur YAHIEL
Monsieur YAHIEL, DRH DASES, a précisé au préalable lors de la rencontre avec les syndicats qu’il n’était pas habilité pour les agents du CASVP, le CASVP étant un établissement public « indépendant », et qu’il ne pouvait se substituer au « politique », en l’occurrence à Madame Gisèle STIEVENARD vice présidente du Conseil d’administration du CASVP.
En bref :
La DRH a précisé que des efforts financiers avaient été consentis par l’administration et que les effets se manifesteraient au mois de décembre 2008.
- Qu’il était prêt à ouvrir un débat statutaire au cas où la publication du décret de la fonction publique territoriale ne sortirait pas rapidement et ne reprendrait pas les dispositions de la fonction publique hospitalière, (statut sociaux AS, CSE alignés sur les dispositions de la fonction publique territoriale).
Dans tous les cas, aucun accord n’a été obtenu sur une augmentation des taux pour l’IFTS, ni pour la création d’une prime communale ou départementale. ( Il apparaît que pour l’IEM, le montant est calculé sur la base des effectifs : pas de marge de manœuvre).
Commentaire Force Ouvrière
Faut-il rappeler à Monsieur YAHIEL que le CASVP fait intégralement partie des administrations parisiennes, et que l’employeur Ville / CASVP et le même ?
Non, cet excès de formalisme sert à éviter le fond du débat :
- L’augmentation de l’IFRTS au CASVP et à la DASES.
Pour FO, et ce point a été abordé lors de l’audience, l’exigence est d’obtenir
Un minimum garanti chiffré pour tous les collègues (AS, CSE) et notamment pour les plus jeunes collègues en début de carrière.
C’est clair, l’action doit continuer !
ASSEMBLE GÉNÉRALE
INTER SYNDICALE
LE VENDREDI 8 FÉVRIER
DE 12h à 14h
Salle Eugène Varlin
10, rue du château d’eau
75010 PARIS
